VOUS NE DEVINEREZ JAMAIS CE QUI VA SUIVRE. En fait, si, vu que je vous l'explique ci-après, ci-maintenant: des membres de la rédaction, actuelle et passée, se sont réunis pour définir les 5 jeux à acheter en cette dernière semaine de 2017. Du coup, forcément, ce sont des jeux de 2017-20 ans, faut pas déconner. Hashtag c'était mieux avant.
Alors on va vous la faire court. Pour cette fin d'année 2017, on a décidé de demander aux membres de notre rédaction actuelle, à d'anciens rédacteurs, aux membres de notre association ou de notre émission de radio de faire un petit top 5 des jeux à recommander pour 2017-20 ans. Parce que le jeu vidéo c'est dans les tripes, et que les tripes c'est bon avec une bonne bière de Noël, voilà nos vœux. Ces événements se déroulent entre 14:00 et 14:49 de l'après-midi.
Le top de Jivé, directeur
Goldeneye 007, le jeu préféré de Jivé pour 1997.
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GoldenEye 007 - Comment ne pas mettre ce jeu dans le top. Comment ne pas se rappeler qu'il fut à cette période l'emblème de plusieurs choses. De la N64 déjà, la console de notre adolescence (pour la génération Y dont je fais partie), des parties entre amis avec Golden Gun jusqu'à pas d'heures (ma dernière remonte à quelques semaines cela dit), et aussi l'emblème des FPS multi en 3D de l'époque. Si vous cherchez la meilleure adaptation de film de l'époque, et l'un des FPS les plus badass avec ses potes, ne cherchez plus et lisez le test, ça ira plus vite.
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Oddworld: l'odyssée d'Abe - Version PSX pour ma part, voilà la plus belle découverte de l'année, une création originale et intriguante avec un personnage qui semble idiot et grossier de prime abord et qui s'est révélé être un compagnon de route que je n'oublierai jamais. Abe, c'est un type, enfin un truc qui fascine autant qu'il fait peur. Et qui pète. Abondamment. En plus d'être magnifique et onirique, le jeu était une vraie surprise cette année. Tiens, étonnant, on l'a testé aussi!
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The Curse of Monkey Island - Troisième épisode de la plus belle et plus épique série de jeux vidéo de l'histoire du monde connu, il a malheureusement été transformé pour devenir un point & click 3D, ce qui ne lui permet pas d'être premier dans mon classement. Cela dit, évidemment qu'il a une place particulière dans mon cœur de 1997, ne serait-ce que parce qu'il complète l'histoire Guybrush et LeChuck. Malheureusement le début de la fin de LucasArts, RIP PETI ANJE PARTI TRO TO.
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Grand Theft Auto - Le début d'une série mythique avec un jeu qui a inventé le genre GTA-Like, c'est bien la preuve que s'il ne fallait en garder qu'un dans ce style, ça serait bien lui. Je me souviens encore de la première fois que j'y ai joué. Et comme on s'est amusé ensuite à l'école, avec mon pote Thib, à dessiner des grandes cartes de villes sur des feuilles A3, où l'on plaçait des voitures foLLES qUI ROULAIENT SUR TOUT LE MONDE DANS DES GERBES DE SANGNGIIHITYHAHAHA TOUT PAYTAY! Hm. Lisez le test.
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FIFA 98: Road to World Cup - S'il y a bien une raison pour laquelle ce nouvel opus de FIFA est LE jeu sportif de l'année, c'est pour la chanson dont TOUT LE MONDE se souvient. C'est bien simple, quand on parle de FIFA, même à un inculte du jeu vidéo, le premier truc qu'il va nous sortir c'est «ah ouais, whoo hoo» (oui, parce qu'il est aussi inculte en musique et ne connaît pas le vrai titre). Mis à part ça, c'est sur la Coupe du Monde chez nous qu'on a gagné, que dire de plus? Ah oui, lisez notre test.
Mes voeux: Il était particulièrement ardu pour moi d'établir un classement en 1997 car j'ai toujours considéré cette année comme l'année de l'apogée de l'âge d'or des jeux vidéo. C'est d'ailleurs pour ça que durant près de 10 ans, GameTrip se refusait de dépasser cette date pour traiter ses jeux. Bon bref, au lieu de raconter ma vie, je dois me plier à la traditionnelle carte de vœux: que cette année soit douce, blabla, plein de jeux, machin truc, aimez-vous les uns dans les autres, toussa. Et que les 20 prochaines années soient aussi cools en jeux que les 20 dernières. Enfin non, que les 20 d'avant, plutôt.
Le top de Robin Masters, rédac' chef
Final Fantasy VII, le jeu préféré de Robin Masters pour 1997.
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Final Fantasy VII - Le meilleur RPG de tous les temps, enfin presque. Des centaines d’heures de jeu, des élevages de Chocobo dorés, j’ai fait monter tous mes persos au level max, même ceux que je n’aimais pas. Une histoire prenante, des rebondissements, de l’émotion et beaucoup d’épique. Dommage que ce soit le dernier Final Fantasy de la saga. De toute façon, il aurait été impossible de faire aussi bien ou mieux après ce chef d’œuvre. Lisez le test, tiens.
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Fallout - Le meilleur RPG de tous les temps, enfin, le meilleur Action RPG de tous les temps qui se passe dans un monde détruit. Des dizaines d’heures de jeu, des élevages de chocobos irradiés et tout un tas de stimpacks consommés. Une histoire correcte, un système de jeu simple et efficace. La suite, sortie un an après, sera tout aussi réussie, bien que ce premier Fallout reste le plus marquant à mes yeux. J'ai même fait un test ici.
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GoldenEye 007 - Le meilleur RPG de tous les temps, sans RPG, mais à la première personne avec du shoot dedans. Plein d’heures de jeu pour le solo, autant pour le multi. Le solo et ses défis dingues (finir Archives en 1mn10 sans tuer personne) ou le multi avec ses arènes qui regorgent de planques et passages secrets. Sans doute le meilleur jeu de la N64.
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Oddworld: l'odyssée d'Abe - Le meilleur RPG qui est en fait un jeu de plates-formes de tous les temps, avec des prouts. De la stratégie nécessaire pour ne pas mourir sur chaque tableau, beaucoup d’humour pour un jeu aussi bon en VO qu’en VF. Malheureusement, ses suites n’ont pas fait grand bruit.
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Grand Theft Auto - Le meilleur RPG de tous les temps, avec des gens qu’on écrase dans une vue du dessus et des Pay’n’spray. Des millions d’heures de jeu, des missions à la con, un scénario bidon, des personnages sans relief mais un concept simple: on fait ce qu’on veut. Les suites sont toutes mémorables, et rejouer à ce premier volet reste un plaisir malgré une jouabilité qui a mal vieilli.
Mes vieux: A l’heure où j’écris ses lignes, le marathon des fêtes n’a pas encore débuté. Ne sachant pas dans quel état serais-je après le 1er janvier, je peux simplement vous prédire ce que seront mes premiers mots de 2018, à mon réveil: Alors que je me relevais, tout ce que je pouvais entendre était le bourdonnement lointain des voitures. La vie continuait autour de moi, mais cette explosion allait bouleverser mon existence. Des bisous.
Le top de Ben, animateur sur GTFM
Fallout, le jeu préféré de Ben pour 1997.
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Fallout - Mon amour éternel. L'exigence du RPG dans le premier vrai univers post-apo crédible à la Mad Max (ce n'est que mon humble avis), subversif et sans pitié. Même allergique aux combats au tour par tour, je m'y suis mis pour le plaisir de voler des tonnes de stuff, raser des villes, causer avec des goules et lire d'interminables documents sur des écrans en vert et noir. Suivra une belle série de suites, mention particulière à New Vegas.
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Blood - La fin des nineties, c'est l'époque des doom-like sévèrement burnés dans la lignée de Duke Nukem 3D et nourris au bon grain du moteur Build Engine: Redneck Rampage l'enfant débile, Shadow Warrior l'exotique au parfum de B-movie et Blood le gamin psychopathe. Gore, fun et originalité sont les trois mamelles du jeu où l'on incarne Caleb, en guerre contre la Cabale, secte satanique assistée de démons dégueulasses. Ennemis (du zombie à la Chose de la Famille Addams), armes (sulfateuses, aérosol enflammé, poupée vaudou) et niveaux (un train, un temple, l’hôtel de Shining), tout se découvre avec une joie sadique au milieu de gerbes de sang. Sombre et badass, servi par la BO de Type-O Negative, Blood se démarque et fait dans l'ultra-jouissif.
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Dungeon Keeper - Dungeon Keeper marque l'apothéose du style Bullfrog quelques années avant la disparition du studio britannique: de la gestion dans un univers décalé, et de l'humour, plein. A la tête d'un donjon où il s'agit d'attirer foultitude de démons et autant de héros pour pouvoir les dépiauter, le jeu est beau pour l'époque, avec ses bruitages ténébreux et ses effets de lumière. On bâtit salles de tortures, bibliothèques, temples, cimetières histoire d'attirer des bestioles pas vraiment flippantes mais qu'on prend plaisir à voir se fritter avec les gentils héros.
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Grand Theft Auto - Bah ouais, pas possible de passer à côté. Quand on a 14 ans, on veut violenter des gens, et l'année 1997 se montre fort généreuse. Pas beau et assez court, avec des fusillades atroces où l'on tire des pixels, GTA mise tout sur le fait qu'il te met la fièvre: courses de bagnole, écrasage de piétons, missions qui assument leur côté tordu et antisocial... Tout ce qu'il faut pour perdre son sang-froid.
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Diablo - En 97, Satan est à la mode: le black metal vend plein de disques et les éditeurs suivent visiblement le mouvement. Mais avec Diablo, fini de rire: le jeu hausse le niveau du hack'n'slash avec des donjons à la beauté raffinée, peuplés de monstres qui en ont. Un concept ultra-basique, celui du porte-monstre-trésor, mais poussé au top. Plein d'armes et de sorts à débloquer, ça annonce la folie du craft et du pillage à venir.
Mes veuch': Je vous souhaite une année 2018 aussi riche en sensations vidéoludiques que les 30 précédentes. Ne faiblissez point, fiers défenseurs de ce patrimoine méprisé. Et jouez avec panache. Et écoutez Gametrip FM, merde.
Le top de Liquid Brain, secrétaire général de l'asso
TOCA truc bidule, le jeu préféré de Liquid Brain pour 1997.
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TOCA Touring Car Championship - Les Britanniques ont eu le bon goût d’offrir au monde le BTCC dont une course contient autant de dépassement somptueux que toute la F1 depuis le début de son histoire. Codemasters s’en est donc servi comme point de départ de ce qui fut un des précurseurs des jeux de simulation automobile, quelques mois avant Gran Turismo. Bien qu’un peu moche, soyons honnêtes, le jeu a posé les bases d’un système de conduite qui allait devenir la référence des amateurs du genre.
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Lylat Wars 64 - À peu près tout dans ce jeu est épique (à part Slippy Toad évidemment, la grenouille reloue qu’il faut aller sauver 18 fois alors qu’avec un peu de beurre persillé elle serait beaucoup plus intéressante). On en prend tout le temps plein la vue, que ce soit par les graphismes ou par le grouillement des ennemis qui arrivent de partout (mais qui se font quand même poutrer car l’Arwing se pilote du bout du joystick). Bien vu aussi la possibilité de prendre différents chemins pour arriver à Venom et son terrible Andross (note pour moi-même: ne pas faire de jeu de mots pourri sur la force du fruit ou la compote). Le test est ici.
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GoldenEye 007 - Bon sang est-ce que 1997 ne serait pas la meilleure année du JV? Et spécialement pour la 64? Si le mode solo de ce jeu est déjà une sacrée réussite de par sa longueur (et sa complexité pour ceux qui ont terminé toutes les missions en mode 00), ses missions aux décors variés, sa jouabilité et sa puissance graphique, que dire du multi qui a occupé pas mal de bande de potes les week-ends, sur un écran de 36cm splitté en 4? Véritable pièce de maître, ce jeu est la définition même du chef-d’œuvre vidéoludique. Il se murmure même que dans certaines grosses occasions, les membres de GT en refont quelques parties sur vidéoprojecteur, perdant au passage 8 dixièmes de correction visuelle par session.
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Diddy Kong Racing - Sorti la même année, il semble difficile pour Diddy Kong Racing de tenir la comparaison face au grand frère Mario Kart (d’ailleurs si l’on se fie bassement aux chiffres de ventes, le plombier a fait 10 fois plus que le singe). Pourtant le challenger est une réussite qui n’a pas à rougir face à son concurrent. Trois types de véhicules disponible (le kart, l’avion, l’hydroglisseur) rendent le jeu plus varié, la durée de vie est bien plus conséquente et le gros travail sur l’ambiance sonore fait qu’on a plaisir à augmenter le volume de sa télévision. Le jeu aura su convaincre les gens qui n’achètent pas leurs jeux sur les têtes de gondoles du supermarché et ça, c’est déjà une belle réussite.
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Carmaggedon - Ce jeu de course / massacre (enfin plutôt l’inverse) ne sera pas rentré dans l’histoire pour ses qualités techniques (encore que pour l’époque, une voiture qui se déforme en temps réel suivant les impacts était quelque chose de plutôt rare). C’est surtout l’immense tollé qu’il aura suscité qui lui vaut sa place dans ce top. Le jeu fut la réponse idéale à cette sombre période où les associations comme Familles de France faisaient tout pour débiner la liberté créatrice des studios en faisant semblant d’ignorer que c’est aux parents de contrôler que leurs enfants ne jouent pas à un jeu où si on veut gagner la course, il est peut-être plus intéressant d’essayer de faire sploutch sur tous les piétons ou de réduire les voitures adverses en cendres. Fin de la partie, c’est nous qu’on a gagné.
Mes véreux: En ces temps de fêtes, souvenez-vous que l’important n’est pas de passer un bon moment avec sa famille ou ses amis, l’important n’est pas de mettre ses querelles de côté et d’essayer pour au moins une journée de se dire qu’on peut tous vivre ensemble, l’important n’est pas d’avoir une pensée pour ceux qui n’ont personne avec qui passer ces moments, l’important c’est bien sûr la valeur financière des cadeaux que vous allez recevoir et la bouffe sur la table. Des bisous.
Le top de Djey, animateur sur GTFM
Diablo, le jeu préféré de Djey pour 1997.
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Diablo - Bien sûr une mention spéciale à Diablo qui n'a fait que prolonger mon histoire d'amour avec Blizzard (après Warcraft et Warcraft II) et sur lequel j'ai passé des centaines d'heures à buter du squelette et à farmer le Boucher dans la cathédrale.
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Final Fantasy VII - Final Fantasy VII est, en tant que grand nostalgique, le meilleur de la série pour moi, par son scénar, ses personnages attachants et ses invocations qui étaient jolies et stylées à l'époque. Une durée de vie de dingue, une difficulté pas dégueulasse, le top de la PS1 avec Suikoden.
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Fallout - Fallout a été aussi une découverte géniale à l'époque, avec beaucoup de prises de décisions qui étaient sensées influer sur la suite du scénar (bon, en fait pas tant que ça, mais c'est un détail). Les suites m'ont peu intéressé, mais le premier opus était vraiment ouf.
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Age of Empires - Age of Empires était un des premiers de ce genre je pense, et en tant que précurseur on ne peut que le respecter. Ce n'est pas un style de jeu que j'affectionne particulièrement mais je lui trouve au moins le mérite de l'innovation. Et notre test est ici.
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Dungeon Keeper - Quant à Dungeon Keeper, nous en avons encore parlé dans notre émission du 9 décembre, et il a ravi les fans d'heroic fantasy qui pouvaient allègrement frapper leur gobelins pour qu'ils se bougent les fesses. Un univers et un gameplay unique, à tester si vous n'en avez jamais eu l'occasion.
Mes veaux: Un Top 5 vraiment facile à faire tant tous les cinq-là sont des jeux mythiques à mes yeux, dans des styles pourtant totalement différents. En dehors de tout ça, n'hésitez pas à venir nous écouter sur GTFM en direct le samedi (ou en podcast ici) pour 1h30 de blabla en tous genres sur les jeux vidéo, les plus vieux comme les plus récents. On se fend la gueule, on s'insulte et on dit parfois des choses super sensées et intelligentes et le plus important c'est qu'on adore ça! Prochain rendez-vous le 6 janvier 2018, pour se souhaiter la bonne année. D'ici là, prenez soin de vous, buvez avec modération ou ayez un Sam, et à l'année prochaine!
Le top mal négocié de Ryldian, ex-rédacteur
The Curse of Monkey Island, le jeu préféré de Ryldian pour 1997.
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The Curse of Monkey Island - Alors beaucoup de fans de la licence vont me pourrir, car ils vont me dire que ce n’est pas un «vrai» Monkey Island dans le sens où Ron Gilbert ne faisait plus partie de l’aventure etc. Mais j’assume, j’ai beaucoup aimé ce jeu, notamment car à l’instar du 2, il y a tout d’abord deux façons de jouer, soit en facile avec des énigmes en moins, soit en plus coriace, avec plus de défis, et donc deux manières différentes de découvrir le jeu. Et j’ai adoré son style graphique en mode cartoon, tout comme l’histoire qui se tenait, puis surtout qu’on a droit au retour du duel d’insultes qui a fait le succès du premier opus. En bref, pour les fans de point & click (et pas que de Monkey Island), vous pouvez foncer.
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Blade Runner - J’ai eu l’occasion de le tester ici, et vous connaissez donc mon avis sur la question, mais en plus d’être un excellent point & click futuriste (et pour vous dire, je n’avais pas vu le film avant de faire le jeu), il est re-jouable plusieurs fois avec des pans de scénarios différents.
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Final Fantasy VII - Avec honte, je n’avais pas de PlayStation 1 à l’époque de la sortie du jeu, mais c’est bien des années plus tard sur PC, que j’ai eu l’occasion d’y toucher, et quel bonheur… Une histoire touchante, des environnements qu’on retient (exemple, les bureaux de la Shinra, j’ai trouvé ce passage culte), et des persos qui tiennent la route (une petite préférence pour Barret), c’est un vrai must-have pour les fans de RPG, et ce serait un sacrilège de ne pas y avoir joué au moins une fois.
Mes feux:(Note de la rédaction) Ryldian n'ayant pas appris à compter au-delà de trois, et n'ayant pas joué beaucoup en 1997 car il a du fuir son pays qui était en guerre à ce moment, il était en incapacité de fournir deux jeux supplémentaire. Cela dit, il espère que vous passerez une année où il ne faudra pas partager son repas avec des rats et vendre une sœur pour survivre. (Tout ceci est faux mais je voulais rajouter du drama à son top 3.)
Le top de JamHet, ex-rédacteur
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Grand Theft Auto - Et oui! GTA premier du nom a 20 ans! 20 ans que l’on peut écraser des moines (GOURANGA) en toute impunité ou presque. Cette vue de dessus, cette liberté d’action, des missions jouissives et explosives!! Ça me donnerait presque de prendre la voiture et … Euh… non rien! Bref, le pied quoi.
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Quake II - Si je dois retenir une chose de Quake 2, c’est toute la subtilité qu’il faut pour parvenir à ses fins. Haha, non je déconne. De l’hémoglobine en veux-tu, en voilà, des armes bien bourrines et des graphismes vraiment cool pour l’époque. Mention spéciale aux musiques bien métal vous accompagnant lors de vos périples sanglants (à retrouver sur Deezer, un vrai kiff).
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MDK - Murder Death Kill, un concentré d’action, d’humour et de précision. J’en ai passé du temps à dézinguer de l’E.T., surtout lorsque ce dernier vous nargue quand vous l’observez au zoom de la lunette. Kurt et sa combinaison moulante réapparaitront dans un deuxième épisode presque aussi bon en 2000. Du lourd.
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Total Annihilation - Halala… On en fait plus des RTS comme celui-ci. Le scénario est basique (deux camps qui se foutent sur la tronche pour une histoire de transplantation dans un futur lointain) mais les batailles sont épiques! Et le nombre d’unités robotiques, de bâtiments et de possibilités technologiques est proprement ahurissant. Yabon!
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Outlaws - L’un des rares FPS se déroulant au Far West. Un ancien marshall doit venger sa famille dans un environnement très western spaghetti. Les graphismes à la limite du dessin animé et des gunfights bien stylés en font de ce jeu un incontournable. Sans compter un arsenal important (raaaah, la dynamite…) nécessaire pour une vengeance meurtrière.
Mes yeux: se portent bien merci. Et bonne année. - Mal écrit le 27/12/2017 à 9h44 par Jivé.